À travers le court-métrage The Life of a Camera, vous découvrez la vie d’un Yamasheta 35mm, de sa première utilisation jusqu’à sa mort. Andrew Saladino raconte ainsi la vie que cet appareil photo unique a vécue à travers les photos qu’il a pris.
Avant que les smartphones débarquent dans nos poches, prendre une photo relevait d’un moment spécial, l’occasion d’immortaliser un souvenir sur pellicule à jamais. Que ce soit hier ou encore aujourd’hui, certains continuent cette “tradition” avec des vieux appareils photos argentiques. Le Yamasheta 35mm en est d’ailleurs l’un des excellents appareils photo qui retrouvent une seconde vie grâce à ce revival argentique. Certes, il est de loin le meilleur par sa qualité et technique, mais il permet de capturer des photos plutôt intéressantes grâce à ces quelques lacunes. Surtout, il est un appareil photo pas trop cher actuellement, et du coup il est un parfait compagnon de route pour ceux qui aiment la lumière et les cadres qui se chevauchent.
Ceux qui ont la chance de trouver ce genre d’appareil photo vintage dans des brocantes ou magasin spécialisés ne se rendent peut-être pas compte de la vie qu’ils ont eu. C’est ce qu’a souhaité raconté le photographe américain Andrew Saladino à travers le court-métrage The Life of Camera. Durant 5 petites minutes, vous découvrez la vie de d’un vieux Yamasheta 35mm, qui a du passer de main en main, traversant les époques et les sociétés. Une jolie ode visuelle sans cliché, mise en scène sur la musique See You All de Koudlam.