C’est chaque année le 21 janvier. Cette journée internationale des câlins est célébrée chaque année depuis la fin des années 80. Et il serait dommage de s’en priver, aujourd’hui, comme demain.
Que le câlin soit amoureux, que l’accolade soit amicale ou que l’étreinte soit franche, qu’on le veuille ou non, c’est toujours bien de prendre son prochain dans les bras. Au diable les rabat joie ou les hypocondriaques, un câlin en ce 21 janvier ne se refuse pas. Surtout pas. Parce qu’à cette date, c’est la journée internationale des câlins. Ce serait le 29 mars 1986 que le révérend Kevin Zaborney eut l’idée de cette journée spéciale. Il avait constaté que le début d’année et jusqu’à la St Valentin était une période de plus forte tendance à la déprime. Il fait froid, les fêtes de fin d’année sont passées, certain souffriraient en effet d’un manque de contact émotionnel.
A quoi bon repousser ce geste bienfaiteur ? Avec un proche, un inconnu, un animal ou encore sa peluche, le câlin a des vertus bénéfiques pour tous. Et il serait dommage de ne pas en profiter. En effet, le câlin permet de lutter contre la déprime et les virus. Contribue à la production de l’ocytocine, l’hormone-clé de notre bien-être. “Selon une étude américaine,” 7 minutes de câlin par jour permettrait de se sentier heureux. N’abusons pas quand même, quelques câlins aujourd’hui, demain et plus si affinités suffiront.
Comment procéder pour un câlin ? Le principe est assez simple : choisir sa cible, homme ou femme, de préférence avec une bonne odeur (à vous de sentir le truc), ouvrir ses bras, regarder fixement la cible, pencher légèrement la tête, sourire sans donner une impression de perversité, s’avancer doucement, placer ses bras ouverts autour de la cible, refermer ses bras et le tour est joué.