31 mai, à peine arrivé à l’aéropoire qu’on pouvait déjà entendre des “On va tous mûrir” et des chants à la gloire étudiante “Poooomme, PommePomme, Pomme Pomme Pomme, Poooomme” 260 étudiants, pour un week-end complètement Be Fruit, ça vous fait monter le jus ! Avec Emily, Quentin et les acolytes du Blog en Bois, nous avons été conviés à ce petit séjour. Certain que nous avions le sourire banane et la pêche pour profiter de ce Oasis Fruitbreak. En tout cas, nous étions pressés d’arriver en Sicile au Club Med Kamarina. Même pas le temps de passer au dutyfruit, trop hâte de ramener notre fraise !
Alors voici l’histoire de ce petit springbreak fruité en Sicile. Je me suis dis que vous vouliez être mis au jus.
Retrouvez aussi toutes les explications sur le dispositif mis en place en amont sur Tendances Com.
22h, quelques heures de vol, de Pakito dans l’avion, de transport, de Daft Punk, une fois arrivé, cash pistache sur le buffet. Nous sommes en Sicile pour un court week-end, il va falloir ne pas rater une seule occasion pour en profruiter. Et quelle première soirée les cocos ! Que du fun ! Des ananas hot comme trois pommes autour de la pistache, mais restons sérieux deux seecondes, nous ne sommes pas là pour faire la mûre, nop. Passé 00h, les premiers textos d’anniversaire (et oui), avec ses premières célébrations. Je vous aurai bien raconté davantage sur cette soirée, mais il y a eu pomme un certain problème de mémoire. Bravo l’âge, j’ai complètement finit fruit sec.
10h, à peine levé, ni prune, ni deux, un plouf dans la Méditerranée. 5 Oasis dans le bidon comme le recommande la pub Manger Bouger et c’est parti pour un tour de kayak. Le bonheur est total avec cette météo matinale fortement clémentine. Je discute vite fait avec les graffeurs du mur Oasis. J’y pose même ma petite couche en véritable mec de la rue que je suis (poke Glamour). Retour à la pistache avec les copains, nous ne noyons pas notre plaisir. Perso, je ne prends pas une année supplémentaire tous les jours, pourquoi manguer ce que nous offre la vie. Le temps de quelques rhums et on fonce au déjeuner façon fruit-nique. Une sieste au soleil plus tard et c’est bulle partie, de la pamplemousse en veux-tu en voilà. Perso, je n’ai pas pris le risque de mouiller mon verre, laissons cela aux fêtards de l’après-midi. Cuvons tranquillement.
18h, l’heure de l’apéro détente au bord de la plus grande piscine d’Europe, je reste encore dubitatif à ce sujet. Un open-bar de circonstance pour parler du monde et du reste. Pendant que certains se reposent, je profite du bar. La papaille de circonstance dans le verre. Le soleil ayant bien tapé, rouge comme des tomates, la fin de journée se fait sentir. Le coucher de soleil est salvateur, mais pas de repos pour les braves, direction l’apéro, le vrai. Je me rends compte que vu l’heure, je mets déjà l’amende à certains étudiants. Et alors ? Je me fends la poire, le principal.
20h, le dîner. Chants étudiants à coco, la fête est totale à table. La fête est totale dans mon assiette aussi. Et voilà, que l’équipe me fait la surprise d’un gâteau de circonstance pour le dessert. Je ne peux que les remercier, gêné néanmoins. Imaginez toute la troupe des étudiants me le chantant joyeux, voilà. Imaginez une file de bisous pour me le souhaiter encore plus joyeux, impossible de fuir, voilà. Merci à eux quand même ! La soirée continue dehors. DJs au top comme la veille. Gros bisou à Maël et Edouard qui ont assuré comme de vrais patrons derrière les platines, voilà. Plus gros bisou à Oasis qui nous a assuré une dernière soirée plus folle encore.
6h, l’heure du départ, nous étions raisingnés à décoller (ok, elle est mûre celle là). Certain que le goyave sera long, épuisant, triste, mais au final nous l’avons bien cherché.
Ce Fruitbreak était foufou dans son ensemble à l’image de celui de Ramon, chaud comme la fraise ;)
http://youtu.be/baMHghMB5Sw
PS : Toute allusion érotique dans cet article sont là uniquement pour les jeux de mots.
PS 2 : Ce week-end Fruitbreak est le deuxième du genre. Pendant deux jours, les étudiants gagnants à l’opération ont vécu l’esprit Be Fruit dans toute sa fraîcheur et sa spontanéité ! Pour y aller, ils ont dû prouver leur motivation sur leur campus mais aussi sur le digital. Le Fruitbreak en quelques chiffres, c’est 70 campus touchés répartis sur 12 villes, 5 000 étudiants participants sur les campus, 3 000 participants sur Facebook et Twitter générant 140 000 votes et 2 500 partages, 260 étudiants durant le Fruitbreak et plus de 15 000 tweets avec #Oasisfruitbreak. Voilà pour la petite histoire.