C’est une discussion rêvée. Rêvée car Aline est une de mes références dans le petit monde de la pop française. Aujourd’hui sort La Vie Electrique, le deuxième album d’Aline. Après s’être amusé à “regarder le ciel”, voilà qu’Aline nous propose de vivre une “vie électrique”. Une vie rythmée par une pop plus colorée, synthétisée et forcément rêvée. Rencontre avec Aline au comptoir du Torréfacteur pour discuter de tous pleins de choses.
Le rendez-vous était donné il y a deux jours dans l’hôtel d’Aline à une heure plutôt matinale. Rencontré presque au saut du lit, aussi bien pour eux que pour moi, du coup l’exercice de l’interview et des questions fut plus que délicat. Merci nos gueules de bois respectives. Merci surtout ma passion pour Aline. J’adore leur musique, leur univers si particulier. Une pop à l’anglaise chantée en Français. J’avais alors des tonnes de questions à leur poser. Des questions sur leur deuxième album, sur leur musique, sur mon tube de l’été Je Bois Et Puis Je Danse, sur leur collaboration avec le génie Stephen Street. Cela faisait bien longtemps que je n’étais pas aussi stressé sur un moment. Merci pour ce moment délicat donc. Et voilà, encore une fois, je me suis emballé comme un fan devant un de ses groupes de coeur. Je confesse que cette discussion de comptoir n’est certainement pas la meilleure, la discussion part dans tous les sens, les lumières sont vraiment mauvaises, mais néanmoins on apprend pas mal de chose sur le groupe grâce aux bonnes réponses de Romain et Arnaud. C’est surtout l’occasion de mettre des visages et des paroles sur ce groupe de pop si particulier. Forcément je vous recommande d’écouter leur musique, mais je vous recommande chaleureusement de vous laisser faire, de vous laisser emporter par leur histoire, leur mélodie, leur univers. Essayez Aline, c’est les adopter. Et si vous commenciez par écouter leur Vie Electrique juste après cette discussion de café.
Cette discussion de comptoir, c’est déroulé à l’hôtel Alba dans le 9è, un hôtel où a résidé Louis Armstrong et où dans le salon principal les murs sont tapissés de couverture de Lui. Un endroit aussi bizarre qu’accueillant où la lumière peine à se faire une place aux fenêtres.En attendant la chronique, jetez une oreille sur La Vie Electrique d’Aline :