@
Suivez-nous sur nos réseaux sociaux et réveillez votre curiosité ᕕ( ᐛ )ᕗ

91 ans, 130 femmes et près de 300 enfants. Chapeau l’artiste !

C’est une légende. Le Kenyan Acentus Ogwella Akuku était le plus grand polygyne connu au monde : 130 femmes, près de 300 enfants et plus de 1 500 descendants. Il est mort le 3 octobre 2010 à 91 ans. Hommage à l’artiste.

Il pourrait être dans le livre des records. Il doit y figurer même. Peu d’informations circulent sur lui, à part de très nombreux articles avec les mêmes informations et une sommaire page Wikipédia. Le Kenyan Acentus Ogwella Akuku était le plus grand polygyne connu au monde et cela suffit pour contribuer à sa légende. Chacun y prendra sa pincée de mesure pour saluer l’artiste. Néanmoins, il faut reconnaître que cette homme reste une légende des Internets. A tel point que l’annonce de son décès refait surface presque chaque année. Comme actuellement sur des sites africains. Parce Acentus Akuku est décédé le 3 octobre 2010 en réalité.

Le nonagénaire, dont le surnom était “danger” (ça ne s’invente pas), est membre de l’ethnie luwo, la même que celle du père du président américain Barack Obama (ça ne s’invente toujours pas, une légende je vous dis). Selon la légende, aucune femme ne pouvait lui résister, un danger permanent. Tel Cupidon avec sa mitraillette de l’amour. “Je suis comme un aimant magnétique”, se plaisait il à dire quand il parlait de lui-même.

“Je suis comme un aimant magnétique”

Acentus Akuku est un véritable phénomène de société. Et c’est pour ça que je l’aime beaucoup personnellement. Qui peut se vanter d’avoir épouser 130 femmes, avoir eu près de 300 enfants et plus de 1 500 descendants ? Qui peut se vanter que son premier fils soit âgé de 70 ans alors que sa cadette n’a pas encore 10 ans, et qu’avoir choisi personnellement le nom de tous ? En même temps, il va pas trop pouvoir se la raconter car le monsieur a aussi connu 85 divorces. “Des femmes qui m’avaient trompé…, ce qui est inacceptable”. Nous apprends senenews.com. Un patron.

Très attaché à tous ses enfants et à ses épouses, il avait bâti autour de sa famille un véritable empire. Riche propriétaire terrien, commerce au détail, agriculture, transport, le polygyne était prospère et ses affaires était gérée au sein de cette immense fratrie. Un putain de patron.

Pour cette vie et ces “nombreuses morts”, chapeau l’artiste !

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Total
0
Share